Saine Marie, mère de Dieu, si j’avais été ton mari…

17 décembre 2014

Saine Marie, mère de Dieu, si j’avais été ton mari…

MARIE : SACRE CUL DE DIEU

Adieu mon trésor
La décision n’est pas de mon ressort
Le ciel l’a voulu ainsi
Que de remords sans heure
En mon cœur plusieurs heurts

Des regrets à exprimer
Quelle désolation
Ah ! Quelle déception
Sache une chose, la vérité
De ton amour je suis indigne
Qu’ai-je fais pour ne point le mériter
Sacrée compagne

Je n’ose te montrer mon intimité
Pas que je suis impuissant
Il vaudrait mieux éviter le sacrilège
Quoi que tes rondelles m’excitent
Que ta chatte tant rêvé me sortent des mes gonds

Du ciel je ne suis qu’un pauvre
Dois-je de mon piètre liquide souiller ton cul sacré !

Laisses-moi défoncer plutôt un poivron
Les regards du ciel m’interdisent ton savon
Pauvre âme
Ne je peux t’aimer qu’en larme
Me masturbant en prononçant ton nom
Ah ! Que non

Quelle misère
Mais du fond du cœur, une fierté
Aux choses précieuses
Des pensées pieuses
Le ciel t’a coopté
Ce dont j’avais ressenti de si précieux
Les Dieux l’ont pressenti longtemps avant
Je mourais de regret à te compromettre
De mon sexe

Ton cul est sacré
Je t’épargne de mon gland
D’ailleurs ce sale imbécile ne tient
Plus long en érection
Le ciel l’a voulu ainsi
Pour m’éviter les pires souffrances
Des nocturnes opérations

Ah ! Pauvre bout
Ton mystère n’est plus un tabou
Secret de polichinelle
Va t’en Marie
Cul sacré

Je n’ai pas eu l’honneur de découvrir tes prémices
Va-t’en avec tes délices

Ah ! Cul sacré de Dieu
Comment sont tes baisers
Je voudrais découvrir la suavité de tes lèvres
Tes mouilles

Sont-elles glacées comme des flacons de glace ?
Comment sonder les secrets de Dieu
Ta chatte est réservée pour le divin
J’aurai voulu découvrir la chaleur de ton corps
Couvrir ta chatte de milles baises

Mais à quoi bon
Je trahirais l’idéal des dieux
C’est le saint esprit qui te baise
Tu es la dulcinée des dieux
Vas-y rejoindre les cieux
Tu as su flatter leurs yeux

Moi, pauvre Joseph
Je n’étais pas digne d’un tel honneur
J’aurai gâché ton bonheur

Ah ! Pauvre paria
Suis-je digne d’être le père du Christ

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