toutes les femmes sont des nadine, si nous celébrons les femmes!

11 février 2015

toutes les femmes sont des nadine, si nous celébrons les femmes!

Ah Nadine !
Tu ne peux pas savoir comment
Il est merveilleux d’aimer.
De rendre grâce à éternelle
Pour les multitudes de beautés avec lesquelles
Il comble nos yeux et flatte nos cœurs.
Chaque être qu’on aime est une partie
De soi qu’on chéri.
Et si tu étais cette partie de moi
Que je cherche à chérir.
T’es tu posée cette question ?
Bien oui ! Désormais tu as la réponse
J’attendrais de nouveau ton coup de fil
Pour écouter et entendre ta voix chatouillant
Qui est plus heureux que moi
Quand je contemple ton corps et meurt
Du désir de t’embrasser
De mordiller tes lèvres et de couvrir
Ton corps de baisers.

Ah Nadine !
Quand me feras – tu découvrir
La chaleur de ton harmonieux corps ?
Et tes baisers sont – ils froids ou chauds.
Tout ça, je meurs d’envie de les vivres.
J’ai attendu trois ans pour les découvertes
Et je ne me fatiguerai pas de te dire
Florian, est ton amoureux.
Depuis trois ans, seul ce rêve de te
Tenir dans mes bras me fait sentir
Homme.

Nadine tu ne peux pas savoir comment il
Es merveilleux de dormir dans tes bras
Et de se réveiller en te disant je t’aime
Tu ne peux pas savoir comment il est
Merveilleux de partager ton sommeil
Et te dire je t’aime au réveil
Ah ! Nadine merci de ton amour
Si tu pouvais,
T’imaginer le paradis que je construis ;
Chaque jour pour notre amour, tu comprendras
Que cet amour est si grand
Et fort que celui que le ciel
A mis pour construire notre paradis
Terrestre.

Je voudrais te promener dans cette verdure
Pour que tu vois comment il est beau
D’aimer
Vois cet oasis d’amour et imagine.

Fiston écoute
Me disait mon grand père
Sur le chemin de la vie,
Il y’ a plusieurs écoles
A chacun son chemin
Mais sache une chose
Quelque soit la piste que tu emprunte
Il y’ a des ronces
Il y ’a des épines
Bref, il y ’a plusieurs épreuves
A surmonter.

Tu seras éprouvé par cette bataille
Pour gagner ta vie.
En restant noble et digne
Mon fils, tu choisis la voie du salut
Sur le chemin de la vie.

Il y ’a rien de si facile
Rien n’est un cadeau luxueux.
Méfie – toi plutôt des résultats que
Tu engranges facilement
C’est parfois des trompes œil
Qui cachent l’iceberg à gravir
Ces exploits que nous engageons
Avec si peu d’audace et de mérite
Sont parfois des cadeaux qui
Ombragent la dureté du chemin
Si tes victoires sont entachées
Des noirceurs
Des puanteurs
Ou pire, des sacrifices humains,
Tu échappes au paradis
Car comment feras – tu pour effacer
Ou diluer de ta conscience, les
Faibles que tu as dépossédés
De toute fierté.
Que tu as terrorisé par la force
Par tes pouvoirs magico – mystiques
Par tes réseaux maffieux
Par des trafics d’autorité.
Éloignes – toi de ces noirceurs
Qui te conduiront tôt ou tard
Dans le précipice et la solitude.
Le pouvoir de l’homme est temporel
Et le vrai pouvoir c’est d’être
Auprès des angoissés
Des frustrés
Des déshérités de tous bords

Cependant, si tu perds l’humilité,
En raison de tes pouvoirs,
Tu n’échapperas pas au regret
Vois comment certains de nos
Seigneurs ou Rois
Finissent derrière les barreaux et
Dans la solitude, l’isolement
Et le mépris total de ses complices
Le pouvoir devrait rendre humble
Et conciliant.
Jeune étudiant que tu es,
L’histoire devra t’enseigner comment
Ont péri certains dictateurs et
Monarque dans nos pays.

Étudie s’en et trace ton chemin.
Mais sache une chose, tout a un prix.
Le salut des âmes pour d’aucuns
Les pieux,
Les humbles,
Les charitables.
L’enfer des âmes pour d’autres
Les criminels,
Les misanthropes.
Chacun paie le prix de ses actes
Et le prix des vents qu’il a semé
Si tu as semé la méchanceté
Tu recevras l’ouragan.
Si tu as semé la paix et l’amour
Tu recevras la rosée pour
Te rafraichir et tes plantes
Afin que tu moissonne au centuple.
Quant – à moi, j’ai payé le prix
La sérénité et d’une vie tranquille
Regarde ces mains
Elles sont rugueuses
En harmonie avec la nature
J’ai cultivé mes tomates
Loin des regards envieux et vilains
Je vous ai moulé au goût du Christ.
Et, je pense que je cueille déjà
Les prémices de mes récompenses.
Ils sont combien de nos jours
Qui, atteignent cent dix ans ?
Combien d’enfants et petits – fils
Ai – je enterre de mon vivant ?
Presque pas deux
J’ai respecté dame nature et
Surtout, les principes de l‘humanité
Demain sur ma tombe
Ce sera une horde d’enfants
De petits – fils et que sais je
Qui viendra porter mon cercueil
Mon cadavre ne connaîtra pas de
La honte et d’isolement comme
Ceux des chefs d’état Africain
Qui gisent dans des terres Étrangers
Quel soulagement.

Étiquettes
Partagez

Commentaires