comment les villageois et les enfants se sont appropriés le vélo au Cameroun?

2 mars 2015

comment les villageois et les enfants se sont appropriés le vélo au Cameroun?

Dans nos villages nos ne voyons plus les jeunes s’intéresser à la fabrication des patins,ces vélos sauvages issus des résidus du bois qui, faisaient la fierté des jeunes gens dans le Cameroun profond.
A défaut de s’acheter des vrais vélos, ils jetaient leur dévolu sur cet instrument artisanal et, pouvaient se donner le luxe de patiner sur les descentes des collines ou des pentes abruptes de l’ouest du Cameroun qui, est une région montagneuse.
Dans les années 1960 et les années 1980, cet instrument avait pignon sur rue dans les campagnes, avoir un vrai vélo était s’illustrer comme un homme à gros moyen.
Les patins sont aujourd’hui des objets peu prolifiques, dérivés du vélo, il perd peu à peu son charme tout comme le vélo fascine seulement les gamins de moins de seize ans . Aujourd’hui au Cameroun, la culture du vélo n’est plus de mise, seuls les inconditionnels de cette merveille mécanique pratiquent encore l’art de faire du vélo et s’inscrivent souvent dans des clubs de cyclisme.
Le vélo a connu son époque de gloire et à eu des dérivés, outre le patin qui est une confection des adolescents et est taillé dans du bois, les moins de dix ans ont une autre intuition, la fabrique du patin exigeant des coupes de bois pour une solide fabrication, ces dernier puisent dans du bambou accessible plus facilement à leur tranche d’âge pour se faire des vélos miniaturisés.
Nous pouvons admirer le génie de ces mômes dans le montage de leur « v »lo » et lire leur attachement profond pour ce qui du vélo.
En longueur de journée sans se lasser, ils de baladent avec leur fabrication sur lequel ils fixent une longue tige pour ne pas se courber et de s’exercer aisément.
Ainsi les jeunes de tous les âges ont été victime de la fièvre de s’approprier un vélo de diverses façon.Le vélo a soulevé des passions par seulement chez les professionnels mais aussi chez les amateurs, il reste une fascination qui a accompagné notre enfance et notre adolescence.

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