8 mars! femme, laisse-moi t’écrire un poème

8 mars 2015

8 mars! femme, laisse-moi t’écrire un poème

Ah Élisa, ma Bienne aimée.
Si l’amour n’existait pas,
Je ne t’aurai jamais invité dans ma maison
Si l’amour n’existait vraiment pas
Je n’aurai pas peur de la trahison
Et, mon cœur ne battrait pas en chamade.
Si ton regard ne m’ensorcelait pas
Serais-je devenu un amoureux nomade ?
Partout où je vais, je te cherche.
Où es-tu mon amour ?
Il y a trop des baisers pour toi dans ma bouche
J’ai longtemps péché
Je suis rentré bredouille
Ah ! Brave hameçon
Cette année, tu m’a péché une carpe,
L’endurance est ta leçon.
Élisa.
Viens m’embrasser
Chantons ensemble la musique de l’alouette,
Seuls les oiseaux seront nos hôtes.

Écoute,
Écoute cette musique,
La mélodie de nos amis en disque.
Serre-toi contre moi et imitons-la
Danse sabbatique des pigeons.
Dans cet océan d’Amertume.
Plus jamais, nous n’y ferons un plongeon
Nous mettrons fin à ce triste coutume
Que le soleil rayonne
C’est un été nouveau
Ton parfum odeur des tulipes
Comment ne pas m’y attacher ?
Comment cesser d’être ton papillon ?
J’ai besoin des mouilles de ton nectar.
Ça coupe nette la soif
Ensemble réalisons cette symbiose
La nature nous y invite
Cette nuit, nous allons faire l’amour sur le gazon.
La rosée du matin nettoiera nos corps
Et, encore et toujours, nous chanterons
La musique des alouettes, nos
Hôtes préférées.
N’avons-nous pas dix-huit ans
Hein Élisa…

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