Ma première lettre d’amour

26 décembre 2014

Ma première lettre d’amour

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Ma chère maman que dire d’autre que merci.
C’est sur ta poitrine que j’ai eu le toupet d’essayer mes premières balades d’amour, que de préserver ta coquette et volumineuse poitrine pour ton mari, tu préféras nous allaiter jusqu’à deux ans.
Merci pour cette attention particulière à notre égard, aujourd’hui avec du recule, je mesure haut bien combien sont les bienfaits du lait maternel, ce lait est d’une pureté, d’une richesse incommensurable pour tes bébés que nous fûmes.
D’aucuns n’ont pas eu la même chance que leur maman sacrifie ses nichons au prix de perdre son tendre époux pour le confort et l’intérêt de ses enfants.
Je peux me vanter d’avoir été fortifié par la pureté du lait maternel et cela se ressent, je n’ai pas peur d’avaler des kilomètres à pied même avec une charge.
Nous avions été épargnés des maladies opportunistes qui, attaquent ceux dont leur nutrition est faite à la base des aliments artificiels.
Chère maman, comment te dire merci ? Aujourd’hui, j’ai l’âge pubère, je vais rencontrer d’autres amours sur mon chemin, je suis persuadé qu’elles ne te vaudront pas et que je chercherai auprès d’elles, autre chose que leur poitrine, ce dont tu n’as pas pu nous offrir.
Si cela n’était point un interdit, je pari que par amour pour tes gosses, tu nous aurais fait goûter le cul sacré de notre papa.
Maman, il y ‘a longtemps que j’ai écris pour toi cette lettre d’amour, dommage que tu n’as su lire les balbutiements de ton gosse, sans doute tu l’auras lue si tu étais formée pour lire entre les sourires d’un bébé, et entre ses cris de joie.
Maman tu as fait de nous des hommes heureux et des hommes comblés de bonheur, qu’est –ce-que j’ai encore à découvrir sur la poitrine des femmes ? Niet, tu m’as donné l’essentiel.
Tu as accompagné mes premiers jeux d’amour, je peux encore me remémorer tes Aie quand j’avais abusé de toi en mordillant tes tétons.
Ce fut toujours harmonieux quand seulement, je tétais en réalité pour me reconstituer les forces, pour donner des capacités à mon organisme de répondre efficacement à l’attaque des maladies opportunistes de l’enfance.
Maman je me souviens de tes doux câlins et de tes berceuses, tu as eu le mérite de te former et d’être éduquée de la vieille école auprès de ta grand-mère.
Nos jeunes filles sont complètement déboussolées, désorientées et déconnectées de cette école qu’elles disent caduque sans y piger grande chose.
Est-ce-que je ressemble à un bébé hollandais ?, pu-je être comparé à une poule de ferme ? Je suis le résultat de cette vieille école.
Ma chère maman, tous les efforts que tu as consenti pour nous élever sont formidables, tu as sacrifié ta vie de couple, tu n’as pas voulu garder les rondeurs de ta poitrine pour ton homme seulement.
Tu n’as pas voulu garder tes seins droits et pointus dans tes démembrés pour la séduction de ton mari.
Merci maman.
Ma chère maman que dire d’autre que merci.
C’est sur ta poitrine que j’ai eu le toupet d’essayer mes premières balades d’amour, que de préserver ta coquette et volumineuse poitrine pour ton mari, tu préféras nous allaiter jusqu’à deux ans.
Merci pour cette attention particulière à notre égard, aujourd’hui avec du recule, je mesure haut bien combien sont les bienfaits du lait maternel, ce lait est d’une pureté, d’une richesse incommensurable pour tes bébés que nous fûmes.
D’aucuns n’ont pas eu la même chance que leur maman sacrifie ses nichons au prix de perdre son tendre époux pour le confort et l’intérêt de ses enfants.
Je peux me vanter d’avoir été fortifié par la pureté du lait maternel et cela se ressent, je n’ai pas peur d’avaler des kilomètres à pied même avec une charge.
Nous avions été épargnés des maladies opportunistes qui, attaquent ceux dont leur nutrition est faite à la base des aliments artificiels.
Chère maman, comment te dire merci ? Aujourd’hui, j’ai l’âge pubère, je vais rencontrer d’autres amours sur mon chemin, je suis persuadé qu’elles ne te vaudront pas et que je chercherai auprès d’elles, autre chose que leur poitrine, ce dont tu n’as pas pu nous offrir.
Si cela n’était point un interdit, je pari que par amour pour tes gosses, tu nous aurais fait goûter le cul sacré de notre papa.
Maman, il y ‘a longtemps que j’ai écris pour toi cette lettre d’amour, dommage que tu n’as su lire les balbutiements de ton gosse, sans doute tu l’auras lue si tu étais formée pour lire entre les sourires d’un bébé, et entre ses cris de joie.
Maman tu as fait de nous des hommes heureux et des hommes comblés de bonheur, qu’est –ce-que j’ai encore à découvrir sur la poitrine des femmes ? Niet, tu m’as donné l’essentiel.
Tu as accompagné mes premiers jeux d’amour, je peux encore me remémorer tes Aie quand j’avais abusé de toi en mordillant tes tétons.
Ce fut toujours harmonieux quand seulement, je tétais en réalité pour me reconstituer les forces, pour donner des capacités à mon organisme de répondre efficacement à l’attaque des maladies opportunistes de l’enfance.
Maman je me souviens de tes doux câlins et de tes berceuses, tu as eu le mérite de te former et d’être éduquée de la vieille école auprès de ta grand-mère.
Nos jeunes filles sont complètement déboussolées, désorientées et déconnectées de cette école qu’elles disent caduque sans y piger grande chose.
Est-ce-que je ressemble à un bébé hollandais ?, pu-je être comparé à une poule de ferme ? Je suis le résultat de cette vieille école.
Ma chère maman, tous les efforts que tu as consenti pour nous élever sont formidables, tu as sacrifié ta vie de couple, tu n’as pas voulu garder les rondeurs de ta poitrine pour ton homme seulement.
Tu n’as pas voulu garder tes seins droits et pointus dans tes démembrés pour la séduction de ton mari

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