De douala à yaoundé en passant par les villes Africaines, quand les belles de nuit électrisent

3 janvier 2015

De douala à yaoundé en passant par les villes Africaines, quand les belles de nuit électrisent

Je ne m’étais jamais aperçu que dans cette ville
Les biches de nuit jouissent d’un prestige haut de gamme.
Une nuit,
Profitant de mon insomnie
Je me décide de m’évader dans leur palais magnifique
Les hommes en horde
Attendaient au bout de la corde chacun son tour de pendaison sexuelle
Cette attente n’était point cruelle
Que faire d’autre
Lorsque épris d’un terrible envie de baise
La fièvre de passer à l’acte brûle le pénis
Les hommes suppliant en ces femmes leur faveur
Donnaient à ces filles, plus de valeurs
De quoi dire SIDA oyé,
En ces prostitués,
On lit toute la république tuée
Et l’ivrognerie des hommes.
Pire, devenus tous dinguent
Au profit de ces femmes ne veulent chez le maire avoir de bague.

Ce soir, comme mon pénis me démangeait
Auprès de ces dames,
Mon attitude changeait
Ne pouvant fuir ce drame,
Adjoins une prose à Mireille
Réputée être une entêtée,
Je fis comme si je connus sa grosse tête
Ah Mireille !
Soigne tes oreilles
Quand je te parle d’amour
Tu me parle glamour
Quand je parle du bonheur
Tu fais une sotte d’humeur
Comment être heureux.
Nous serons à jamais que malheureux
Ton attitude me taraude le cœur
Je ne sais s’il existe une différence de mœurs
Pourtant je ne fais que t’aimer
Même si parfois, tu me rends amer
Je te trouve mignonne
Voilà pourquoi, tu es ma préférée comme pigeonne
J’espère qu’un jour, nous
Débattrons nos malentendus
Quoi ! nos sous entendus
J’admire tes tétons
Ils me souviennent ma tétine
J’espère qu’ils ne sont pas tendon
Je m’en fou des épines
Pourvu que je lèche le lait
Ce dont je veux,
En plus ton cul.
Quand vais-je découvrir tes mouilles ?
En ma tête, plein de calcul
Même sur tes dépouilles
Je vais découvrir son sucre
Mon odorat doit humer son odeur
Je le ferai avec douceur
Pour ne pas éveiller ton cadavre
Pour le courage, j’aurai du chanvre
Mais avant,
Tu n’es pas encore morte
C’était pour dire tu es précieuse
Ah, jeune homme !
Un poème,
Ne vaut rien comme légume
Tâte tes poches
Ou laisse faire ma pioche,
Mon anus paradoxe, Baudelaire,
En ton ère,
Tu disais paradis artificiel
Aujourd’hui ils sont officiels
Salut le sexe,
L’alcool
Le tabac
Les gaffes en nos métropoles
Sont plus que interpole
Ne pense pas avec audace
De nos dépendances.
A l’inverse de nos croyances,
Le sexe n’est pas si moins cher
Il est par ricochet, un crocher
Une fois que une belle de nuit,
Suce, votre pénis
Scène audacieuse,
Votre épouse devient une épine
Et sur ce,
Je rêve dessiner mes plus grands fantasmes
Je suis en quête au plus profond de l’érotisme
Jamais, je n’ai rêvé d’être excellent en baise
Ardeur sans cesse,
Comble de jouissance
Et toi ma gazelle,
Dire que tu es une belle de nuit
Que c’est le hasard qui fit connaître tes beautés charnelles
Je dis, il y a comme ça,
Des moments inouïs
Combien coûtera alors ma facture
Avant que tu aie crié dans
Mes bras, encore, suce-moi.
Laisse-moi étudié la façon
De te faire une vraie baise
Ainsi, tu retiendras la leçon
Et tu seras enfin à ton aise
Quand viendra alors ton sacré plaisir ?
Je saurai combler à satisfaire ton désir
Allons y planter le décor
J’étais d’accord
Je venais de conclure un marché
Je pactisais avec un capital pêché
Même si cela n’engageait pas mes réels sentiments
Au bout du compte, je pouvais avoir de ressentiments
Quels ressentiments !
Aujourd’hui, je joue mon destin.
J’ai juste suivi mon instinct.
Ce soir dans mes bras, une prostituée.
J’espère par mes prouesses, son orgueil tué
Imaginez-vous finalement.
Quelle déception
Devant ce cul que j’avais longtemps convoité
Quelle ne fut mon impuissance
J’avais loué à coût d’or l’auberge
Et cette loge, quelle nuisance
Devant ce cul dans mon lit de refuge
Je n’ai pas pu bander pendant des heures,
J’ai été incapable d’une simple érection
Oh, quelle déception !
Réputé pour être un lécheur de ciel
Mon odorat n’avait pas pu renifler ce ciel
Et ma chère dame
De me demander à quoi
Servaient mes poèmes.
La classe de ma drague
N’avait pas reflété le mouvement
De mon pénis !
Ah quel délit !
Il y avait longtemps, que
J’en vins à regretter mes nocturnes opérations
Que de longue nuitée
Pour de maigres récompenses
Et, à quelles dépenses !
Faiblesse sexuelle
Conscience de cupidité
Je ne sais plus à quel saint me vouer
Toujours est-il, je n’avais pas
Pu avoir une érection
Que de déception !
Le dynamisme sexuel
Que, je dégageais,
S’était évaporé.
En mon cœur de peine
J’étais meurtri que de honte.
Les prouesses sexuelles que
J’espérai s’étaient évanouies
Et ceci, juste une nuit.
La reine de mes captivités
Était abandonné en oisiveté
Notre ultime retrouvaille
N’avait pas été le rendez-vous
Qui permettraient à mon
Organe de base un curieux
Et a abondant travail
Qu’est-ce qui avait
Suscité en moi à cet
Instant peu d’émotion
Alors qu’au départ
J’avais une fougue
Intrépide.
Est-ce que parce que,
Pour une première fois
Je devais baiser une prostituée ?
Alors je venais de
Comprendre la leçon.
En notre décor, était
Peut-être absente la
Chanson qui stimule
Les ébats.
C’est peut-être pour cette
Raison que mon heure
De pendaison n’avait
Pas été une réussite.
Alors, baiser une prostituée
Ce n’est pas seulement prendre du poison
Ou alors, il ne suffit pas d’être un polisson
Cette baise n’est pas si aisée
Et ce n’est pas seulement réservé pour des lésés
Même les nobles battent
En classe pour avoir
Les faveurs de ces dames
Elles sont riches en émotion
Et, que dire des expériences !
Voulez-vous une fellation citronnée
Elles ont la meilleure recette
Mais avant, demandez-vous
Si vous êtes prêt à franchir le pas.
Sinon auprès de ces
Grandes dames.
Vous n’auriez pas de charme
Leur monde hypnotise
Et pire encore, rabaisse.
Ce monde de professionnelles
De baise à ces réalités
Cependant, même au plus
Profond de ma déchéance
J’avais au fond de moi,
Quelques espérances
Je devais peut-être sortir
Sur la pointe des pieds
Je devais renforcer mes aphrodisiaques
Dans ce trou pourri, un
Habitué
M’avait enseigné que
Pour vaincre nos peurs
Et nos stupides pensées
Le tabac et la drogue
Étaient les meilleurs
Stimulants et au plus,
Les meilleurs condiments
Pour saucer un diable
De cul.
J’étais à faire cette ébauche
Quand je criai vaincu de ma bouche
Cul rêvé
Cul idéalisé
Voilà ou j’en suis venu
Avec mes fantasmes
Même pas une érection éphémère
La cure était amère.
Poète du monde entier
Empire des insomniaques
Si un jour, vous voulez
Vous essayer dans
Un lieu chaud,
Je vous laisse ces
Adresses :
Rue de la Joie
(Deido Douala Cameroun)
Elf Axe Lourd
(village Douala Cameroun)
Venez-y-vous déchaîner
J’espère que comme
Moi, la baise
D’une belle de nuit
Ne vous effrayera pas
Ces Dames, je les tiens
Au respect.
Madame, enseigne-moi
La baise
Êtes-vous prêt Monsieur
Ah bon Dieu, fait bander
Mon pénis…
Ainsi, j’ai raté mon
Rendez-vous.
Le rendez-vous de toutes
Mes convoitises
Ne dis-je pas des sottises ?
Ah que non où est mon érection.

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