Ces apppels du destin

8 novembre 2014

Ces apppels du destin

Mon père m’a donné les fondamentaux de la presse et il était question que je puisse démontrer au grand public tout l’école de notre savoir faire.
Merci père
Je n’étais qu’ un enfant, âgé à peine de 12 ans aux premières heures du lancement officiel de notre journal. « la détente » son leitmotiv dont j’ai fait mien c’est « le défi de oser ».
Et c’est ça qui est le creuset de mes motivations, je peux me vanter de cette leçon de courage et me battre avec détermination lorsqu’il s’agit de sauver une vie.
Oser, questionner, se questionner, élargir le débat, chercher des pistes, prendre du recul, faire le tri des informations ou le redécoupage voilà l’esprit d’enquête.
Merci SAMUEL ELEME
Tu t’es tué pour me faire comprendre le métier. Je n’avais que 12 ans lorsque le destin m’a fait croiser ton chemin. Ce sont des appels du destin.

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Commentaires

kaptueflorian
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Seul Dieu sait pourquoi et comment à travers le monde il enter-connecte les hommes et inter-agit. nous suivons une certaine prédestinée. Dieu ,le père tout puissant m'a jeté dans les bras de Samuel Eleme et depuis ce jour , je pu aimer autre personne que lui malgré nos querelles et nos disputes. Ce fut le cas pour Monsieur Léwé pierre, un prince Bamoudjo, chef de la communauté à Douala. Malgré parfois nos divergences de vues, il n'a jamais cessé de financer mes travaux de recherches sur la question Bandjoun/Bamoudjo, peut-être un jour je trouverai un éditeur capable d'édité ce livre inédit qui reste dans la réserve de mon bienfaiteur financier. parti à l'ouest en 2000 pour faire un reportage j'ai cru de rapprocher les églises pionnières dans la région depuis les années 1900 pour qu’elles nous aident à voir plus clair sur cette question épineuse qui sépare les deux communautés.