Sans la femme, nos oeuvres artistiques et littéraires seraient fades

22 octobre 2014

Sans la femme, nos oeuvres artistiques et littéraires seraient fades

Femme,
Depuis l’aube du monde
Tu as le secret de captiver l’homme
De fait de sa fougue, ta passion
Pour le rendre parfois prisonnier
Je parcours plus d’une œuvre artistique
Et je découvre circonspect
Que dans trois quart de temps
Tu es sa muse
Sa profonde inspiration
Aucun artiste ne peut se prévaloir l’exception
Derrière chaque grand homme
Serpente une charmante femme
Pour baliser son chemin.
Sartre peut se vanter d’avoir eu
Dans son combat littéraire
Le fort soutien de Simone de Beauvoir
Et Mongo Béti peut se vanter
D’avoir eu à ses côtes
Une véritable bête de scène
Odile TOBNER
Qui d’autre veux-tu que je cite ?
Il n’y a pas d’artiste qui
Ne célèbre pas la femme.
En bien ou en mal
Peu importe,
Elles savent nous importuner
Nous faire rivaliser d’adresse
Pour leur faire l’Amour.
Pour la femme
Et par l’amour des femmes
Que d’artiste ont commis
De grands chefs d’œuvres
Elles galvanisent les artistes
Elles restent une source d’inspiration
Avez variées et diversifiées
Ah femme, quand tu tiens les artistes !
Te soustraire de leur monde
De leur esprit,
Te dénuer du mystère qui t’entoure
Serait tuer le génie de plus d’un artiste.
Pour nos chefs d’œuvre
Nous sommes intimement connectés
A ta vulve
Tes sécrétions vaginales sont une
Manne d’inspiration sans pareil
Pour d’aucuns d’entre les artistes
On chante le sexe
Et le public en consomme
Comme si c’était de bout de pain
On danse
On se trémousse
La bière coule à flot
C’est la fête
Grâce au corps ferrique de la femme
Sur lequel nous artiste imprimons les mots.
Quoi de plus magiques
Que de donner du bonheur au peuple
Mais, il faut le reconnaître
La femme y est pour beaucoup.
Et nous artistes, somme ingrats
Quand on nous dit salut l’artiste
Nous devons remettre cela plutôt à la femme
Mais combien d’entre nous le dise ?
Nous sommes prisonniers de notre orgueil masculin
Quel Ego !
La femme n’existera plus
Et, nous perdrions notre sublime gloire
Heureusement comme dit corneille,
Le bon Dieu est une femme.
C’est pourquoi en toutes les circonstances
Elles nous pardonnent
Voilà mère de l’humanité
Notre genou fléchit pour t’honorer
De ton charme exceptionnel
De tes largesses
Et surtout ta grandeur d’âme.
Grâce à la magnanimité de ton esprit
Notre voyage astral peut continuer
Nous pouvons continuer à voyager
Dans les nuages
Et rendre fou de joie le public
Alors, j’invite les artistes de tous les rivages
Chantons à l’unisson
Vive la femme.
Vive nos amazones
Car nous artistes, ne célébrons
Que leurs différentes richesses
Pour inscrire notre renommée
Sur roc.

 

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